L’une des préoccupations des routards qui vont faire un voyage au Brésil est l’hébergement. En effet, dénicher un bon logement est indispensable pour passer un agréable séjour. Dans ce pays d’Amérique latine, il existe de nombreux établissements hôteliers. Ainsi, les estivants devront en choisir un en fonction de leur budget et envie.
Les auberges de jeunesse font partie des établissements qui se feront un grand plaisir d’accueillir les globe-trotters. Elles sont très prisées des routards qui veulent faire des économies. En effet, la nuitée dans ces établissements est très abordable. Il en existe même qui affiche un tarif d’environ 1 à 2 € par jour. Cela dit, avec ce prix, les vacanciers devront partager la pièce avec plusieurs voyageurs. Bien que l’intimité soit inexistante, les estivants pourront facilement discuter avec leur colocataire pour se raconter des récits et autres.
À noter que la qualité des chambres varie en fonction de la ville. Toutefois, la douche et la cuisine sont souvent communautaires. À titre indicatif, il existe deux types d’auberges de jeunesse. D’un côté, il y a les auberges de jeunesse « officielle » qui sont labellisées Hostelling International. D’un autre côté, il y a les auberges de jeunesse indépendantes.
Les hôtels sont de loin les établissements les plus choisis par les routards qui explorent ce pays. En effet, ils sont disponibles presque partout dans le territoire. De plus, ils sont parfois bien situés et permettent aux vacanciers de profiter d’une chambre bien confortable. En général, il faut débourser en moyenne 40 € par jour pour dormir dans un hôtel. Toutefois, pour éviter de faire trop de dépenses, le mieux est d’opter pour des établissements de classe moyenne.
Et pour cause, ces derniers offrent des pièces chics à des prix compétitifs. Ils proposent aussi à ceux qui font un sejour Bresil diverses activités. Pour information, il est nécessaire de faire une réservation plusieurs mois à l’avance. En effet, pendant les événements importants comme le carnaval de Rio, les hôtels affichent toujours complets. Il en est de même pendant la haute saison touristique dans la contrée.
La location est une option qui séduit de plus en plus les routards surtout ceux qui voyagent en famille. Et pour cause, louer une maison ou un appartement revient moins cher que de dormir dans un hôtel. De plus, cela permet de profiter de plusieurs avantages. D’un côté, les vacanciers qui font un sejour Bresil peuvent bénéficier d’une résidence confortable loin des tumultes du centre-ville. De plus, ils pourront se familiariser avec les locaux.
D’un autre côté, les estivants ont la possibilité de cuisiner leurs repas afin d’alléger leurs dépenses. Le petit hic est que cette option d’hébergement est valable seulement dans les stations balnéaires et certaines villes du territoire. Il est toutefois à noter que pour louer un bien immobilier, il est nécessaire de passer par une agence.
En effet, cela aide à dénicher de bons logements à bas prix. Recourir à un professionnel permet également d’éviter les arnaques.
Dans le cadre de leur programme incentive, levier de motivation fondamental pour générer enthousiasme et envie de travailler, il est fréquent que les entreprises offrent des récompenses à leurs collaborateurs. Parmi les plus appréciés, le chèque-cadeau est un présent qui convient à toutes les occasions : aussi bien les programmes d’incentive que les événements et les fêtes de Noël ou encore un simple remerciement. Pourquoi les meilleurs cadeaux se présentent-ils idéalement sous forme de cartes-cadeaux ? Quels sont les avantages de ce type de présents autant pour les entreprises que pour leurs salariés ? Notre article vous apporte la réponse argumentée et vous explique pourquoi offrir des bons cadeaux à ses salariés.
La carte ou autre bon cadeau ne présente que des avantages en termes d’économie, de gestion et d’organisation. D’une part, sa commande est rapide et sa réception immédiate, ce qui engendre une économie sur les tarifs de livraison, de distribution et de stockage puisque le cadeau peut être transmis par email aux bénéficiaires. Par ailleurs, le choix de la carte-cadeau permet de suivre les dépenses et de rappeler la date de validité des cartes. Enfin, de nombreux prestataires remboursent à l’entreprise donatrice le « perdu-périmé » dans le cas où les bénéficiaires n’ont pas utilisé leur carte pendant sa durée de validité. Ainsi, ce montant non utilisé et reversé à l’entreprise pourra être redistribué ultérieurement. La TVA payée pour acheter les cadeaux peut également être récupérée si le bien offert est d’une valeur inférieure à 65 € TTC.
Les entreprises bénéficient d’avantages fiscaux lorsqu’elles offrent des cartes-cadeaux à leurs salariés, car elles peuvent ainsi récompenser leur personnel pour leur motivation sans devoir s’acquitter de TVA, de cotisations sociales et d’impôts sur le revenu à condition de ne pas excéder 171 € par bénéficiaire et par an sauf si ces cadeaux respectent les conditions suivantes :
D’une part, les cartes ou les chèques-cadeaux doivent être offerts pour des occasions particulières inscrites dans une liste autorisée par l’URSSAFF comme une naissance, un mariage, un départ à la retraite, Noël, la rentrée scolaire, la fête des mères ou des pères ou encore la Sainte-Catherine et la Saint-Nicolas. Par ailleurs, la carte ou le chèque-cadeau doit indiquer la nature du bien ou l’enseigne concernée. Enfin, le montant des chèques et cartes-cadeaux ne doit pas dépasser 171 euros par événement.
La carte-cadeau, mode de paiement simple d’utilisation, se matérialise sous forme de carte de crédit ou de code et constitue le remerciement idéal pour gratifier la motivation de chacun.
Cette récompense attractive est généralement appréciée par ses bénéficiaires, car elle leur offre une considérable facilité d’utilisation ainsi qu’une certaine souplesse puisque ses destinataires peuvent la dépenser librement en magasin ou en ligne, sur les enseignes de leur choix et que sa date de validité est d’un an. Pour faire plaisir et motiver vos salariés, la carte cadeau représente vraiment le choix le plus judicieux afin que vos collaborateurs reçoivent un cadeau qu’ils apprécient réellement. Par ailleurs, les avantages du bon cadeau pour vos salariés sont également fiscaux puisque que ce type de présent exonère d’impôt sur le revenu ses destinataires à condition qu’ils soient concernés par l’événement à l’origine de la récompense. Par exemple, un salarié qui est parent est concerné par un chèque-cadeau offert pour la fête des Mères ou des pères.
Il y a pour les utilisateurs la nécessité d’être informés au sujet de la dangerosité chimique des produits utilisés dans la vie courante. De cette nécessité est né l’effort d’information fait par les autorités par le biais de la mise en place d’une réglementation obligeant tous les acteurs de la chaîne d’approvisionnement à la transparence au sujet des produits chimiques.
CLP qui est l’acronyme de Classification, Labelling, Packaging est un texte réglementaire élaboré par le Parlement européen définissant les obligations portant sur la classification, l’étiquetage et l’emballage des substances et des mélanges. Tout produit chimique présente en effet un certain niveau de risque pour la santé de l’individu qui l’utilise de même que pour l’environnement et cela doit être signalé par une information l’accompagnant et permettant de gérer les risques. Cette information se doit d’être universelle pour être compréhensible de tous. Le règlement CLP met en œuvre au sein de l’Union Européenne l’application des recommandations du Système Global Harmonisé de classification et d’étiquetage (SGH).
En vue de rendre effective la communication sur les dangers des substances chimiques et des mélanges dangereux, la réglementation CLP met chaque acteur concerné dans l’obligation d’accompagner ses produits d’un étiquetage clair à ce sujet et de fournir des fiches de données de sécurité (FDS). Par ailleurs, avant même de procéder à la distribution, les fabricants et les importateurs sont tenus de notifier l’ECHA (l’agence européenne des produits chimiques) au sujet de leurs substances et mélanges potentiellement dangereux dans un objectif d’inventaire de classifications et d’étiquetages.
Chaque dossier envoyé par une entreprise pour enregistrement est étudié par l’ECHA en vue de la classification des risques. Les futures classifications sont alors publiées par l’agence pour une consultation publique sur son site web et une fois l’avis du comité rendu, la commission européenne le reçoit pour élaborer le projet de règlement qui s’y rapporte. Pour sa part, le SGH s’enrichit toujours de nouvelles classifications harmonisées. A noter que c’est la réglementation CLP qui s’est substituée aux directives concernant les substances et préparations dangereuses depuis le 1er juin 2015.
Le règlement CLP a instauré des obligations d’enregistrement et d’information aux différents acteurs de la chaîne d’approvisionnement afin de rendre les consommateurs et les travailleurs aptes à gérer les dangers liés aux produits chimiques. Ce règlement tâche de rendre universels les symboles de signalisation autour des risques.